JEAN-CLAUDE DEY EXPERT EN ARMES ANCIENNES ET SOUVENIRS HISTORIQUES
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Le dimanche 22 juin 2025 à 14h00,
à Fontainebleau, avec l'étude Osenat.


Les collections impériales du comte et de la comtesse Charles-André Colonna Walewski

INFORMATIONS PRATIQUES ET CONTACTS :
​Osenat
Hôtel d'Albe
9-11 rue Royale, 77300 Fontainebleau

​

Expert de la vente :
Jean-Claude DEY

Expert honoraire près de la Cour d'Appel de Versailles
Ancien Assesseur près la Commission de Conciliation et d'Expertise Douanière

Membre du S.F.E.P.
Adresse : 8 bis, Rue Schlumberger, ​92430 MARNES LA COQUETTE
Tel : 01.47.41.65.31

Mail : [email protected].

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École française du XIXe siècle.
Bonaparte Premier Consul, vers 1800.

Grand et beau médaillon rond à suspendre, en verre églomisé noir et or, représentant le Premier Consul en uniforme, en buste de profil, entouré de deux branches de feuilles de chêne liées vers le bas et enrichies en partie haute d’une couronne de dix étoiles.
Encadré de laiton doré à décor d’une petite frise mouvementée, l’ensemble dans un cadre en bois noirci.
Diam. hors tout : 21 cm.
B.E. Époque Consulat (petites taches ne touchant pas le sujet).
 Provenance :
- Collection comte et comtesse Charles-André Colonna Walewski
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Précieux cheveux de l’Empereur Napoléon Ier.
Présentés dans un papier plié en trois parties et bordé, avec inscription à la plume « Cheveux de l’Empereur Napoléon Ier coupés au retour de l’ile d’Elbe le 21 mars 1815. Donné par Mr Aly St Denis ».
Taille du papier (servant d’enveloppe comme il était d’usage à l’époque pour les cheveux offerts)
7,8 x 3,8 cm.
 Provenance :
Collection comte et comtesse Charles-André Colonna Walewski
 Biographie :
Louis-Etienne Saint-Denis Ali, dit le Mameluk Aly, 1788-1856, valet de chambre de Napoléon. Issu d’une famille de domestiques attachée au château de Versailles, il reçut une bonne éducation, fut petit-clerc de notaire à Paris puis entra aux équipages de la Maison en Espagne, en Allemagne, en Hollande. Passa au service intérieur comme second mameluck en 1811 et reçut le surnom d’Ali. Rejoignit l’île d’Elbe après avoir été retenu prisonnier à Mayence et devint alors premier mameluck. Des Cent-Jours à Sainte-Hélène, il ne quitta plus Napoléon un seul jour.

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Martin Guillaume BIENNAIS (1764-1843)
Catherine, Reine de Westphalie

Buste en bronze doré ciselé de la série des « Napoléonides ».
Sur piédouche décoré de frises perlée et guillochée.
Reposant sur une colonne ronde ornée sur le devant du chiffre « C » sous couronne impériale, décorée en partie haute et en partie basse d’une frise de raies de cœur et gravée sur le devant de la terrasse : « BIENNAIS ORFre DE LL.MM. IMPles ET ROYles A PARIS ».
Porte en dessous une étiquette avec n° « 332 », marquée « Dorure au mercure ».
Ht : 26 cm.
B.E. Époque Premier Empire. (quelques frottements).
 Provenance :
- Collection comte et comtesse Charles-André Colonna Walewski
 Historique :
Notre buste fait partie de la série des « Napoléonides » commencée par Biennais à partir de 1810.
D’une belle qualité de ciselure, notre buste représente Catherine, Reine de Westphalie.
Fait à partir d’une ébauche sculptée en cire rose, chaque exemplaire possède plusieurs types de socle : rond ou carré, ornés du chiffre du sujet représenté, parfois on retrouve ces bustes sous la forme de pendules.
Œuvres en rapport :
- Plusieurs exemplaires connus de différents membres de la famille impériale : Murat, Jérôme, Caroline, Louis, Marie Louise, Catherine.
- Des exemplaires conservés dans les collections de la Fondation Napoléon, de la Princesse Napoléon et du château de Fontainebleau.
- Un modèle préparatoire en cire rose provenant de la descendance de Biennais, vendu à Angers (La Perraudière 19 janvier, 2022)
- Buste de l’Empereur Napoléon Ier en uniforme de colonel, portant les insignes de la Légion d’honneur et de la Couronne de fer, et la plaque de la Légion d’honneur. Vente collection Jean Louis Noisiez, n°222, Osenat, 7 juillet 2024
- Buste avec pendule de Jérôme Napoléon en uniforme portant l’ordre de la Couronne de Westphalie. Osenat, vente l’Empire à Fontainebleau, n°139, décembre 2024.
- Deux autres exemplaires de bustes en bronze doré de Catherine de Wurtemberg se trouvent dans la collection Bruno Ledoux et dans la collection de la Princesse Napoléon, Prangins (Suisse).
Bibliographie :
- Guy Ledoux Lebard, « La série des petits bustes en bronze des napoléonides par l’orfèvre Biennais » in Bulletin de la Société d’Histoire de l’Art Français, 1990 (année 1989 ) , p .130-142
- Elliott Joffre, « Les Napoléonides », article disponible sur le site « Napoléon.org ».
Biographie :
La princesse Catherine de Wurtemberg, par son mariage princesse Catherine Bonaparte, reine de Westphalie, est née à Saint-Pétersbourg (Russie) le 21 février 1783 et morte à Lausanne (Suisse) le 29 novembre 1835. Fille de Frédéric Ier, roi de Wurtemberg, et de la reine Augusta, de la maison de Brunswick- Wolfenbuttel, nièce de la Tsarine, elle épousa le 22 août 1807 à Paris Jérôme Bonaparte, roi de Westphalie, frère de Napoléon Ier.

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Philippe JACOB TREU (1761-1825), dit TREU de BÂLE.
Le Roi de Rome.

Buste en bronze gravé sur le devant « Fçois Cles Napoléon Roi de Rome né à Paris le 20 mars 1811 » et, sur le côté, « Sculpté d’après Nature à Meudon au printemps 1812 par Treu de Bâle ».
Présenté sur un socle en marbre gris et terrasse en marbre jaune de Sienne (petits éclats).
Ht sujet : 100 x 40 mm.
Ht sur socle : 185 mm.
 Provenance :
- Ancienne galerie Roger Imbert (Paris) à la fin des années 1970.
- Collection comte et comtesse Charles-André Colonna Walewski
Œuvres en rapport :
On connait plusieurs exemplaires de ce petit buste dont le modèle, comme l’indique l’inscription, a été exécuté lors du premier séjour du roi de Rome à Meudon, d’avril à juillet 1812. Les bustes annotés sont très rares et sont ceux faits sous le Ier Empire. L’original du buste, fait d’après nature, fut exposé au salon de 1812 sous le n°1150.
Ce modèle de buste fit l’objet de plusieurs expositions, il fut notamment présenté à l’Orangerie en 1932, mais également lors de l’exposition “La Pourpre et l’exil. L’Aiglon et le Prince impérial” au Musée national du château de Compiègne (2004-2005).
Un exemplaire similaire se trouve également au musée de Bâle.
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MOUCHOIR DE L’EMPEREUR NAPOLEON Ier en fins fils blancs.
Grand mouchoir en linon blanc brodé sur un angle au chiffre « N » sous couronne impériale.
(plis et tâches de rouille).
70 x 71 cm.
Plié dans un papier avec inscription manuscrite à l’encre :
« Mouchoir de l’Empereur Napoléon venant de Sainte Hélène et donné après sa mort à Mr Frère par Mr Marchand, valet de chambre de l’Empereur. Donné par Mr Frère à Mr Charles Thélin, valet de chambre du prince Louis Napoléon le 6 Xbre 1837. Mr Frère avait reçu dix de ces mouchoirs et il conserva un pour lui et son héritier ».
 Provenance :
- Collection Emmanuel Fabius.
- Collection comte et comtesse Charles-André Colonna Walewski
 Expositions :
Fondation Albertina de Vienne, Les premières heures de l’Albertina. Entre Dürer et Napoléon, du 14 mars au 26 juin 2014

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Martin Guillaume BIENNAIS (1764-1843).
«Louis Napoléon »
en uniforme de général, portant les insignes et la plaque de la Légion d’honneur.
Buste en bronze doré ciselé de la série des « Napoléonides ».
Fonte unique.
Sur piédouche décoré de frises perlées et guillochées.
Reposant sur un socle carré orné sur le devant de la couronne impériale qui surmonte le chiffre, (qui manque), décoré en partie haute et en partie basse d’une frise de raies de cœur et signé au dos de la terrasse : « BIENNAIS ORFre DE LL.MM. IMPles ET ROYles A PARIS »
Ht : 26,5 cm.
B.E. Époque Premier Empire. (frottement sur le socle).
 Provenance :
- Collection F.J.B. Watson, directeur de la Wallace Collection puis ses descendants.
- Collection comte et comtesse Charles-André Colonna Walewski
 Exposition :
« le Roi Louis Napoléon et la Hollande de son époque », Institut Néerlandais, Paris 1959. Rijksmuseum, Amsterdam, 1959, n°34 du catalogue.
 Historique :
Notre buste fait partie de la série des « Napoléonides » commencée par Biennais à partir de 1810.
D’une qualité de ciselure rare, notre buste représente Louis Napoléon en uniforme, portant les insignes et la plaque de la Légion d’honneur.
Fait à partir d’une ébauche sculptée en cire rose, chaque exemplaire possède plusieurs types de socle : rond ou carré ornés du chiffre du sujet représenté, parfois on retrouve ces bustes sous la forme de pendules.
Œuvres en rapport :
- Plusieurs exemplaires connus de différents membres de la famille impériale : Murat, Jérôme, Caroline, Louis, Marie-Louise, Catherine.
- Des exemplaires conservés dans les collections de la Fondation Napoléon, de la Princesse Napoléon et du château de Fontainebleau.

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Le dimanche 22 juin 2025 à 15h30,
à Fontainebleau, avec l'étude Osenat.

L'EMPIRE À FONTAINEBLEAU



INFORMATIONS PRATIQUES ET CONTACTS :
​Osenat
Hôtel d'Albe
9-11 rue Royale, 77300 Fontainebleau

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Expert de la vente :
Jean-Claude DEY
Expert honoraire près de la Cour d'Appel de Versailles
Ancien Assesseur près la Commission de Conciliation et d'Expertise Douanière
Membre du S.F.E.P.
Adresse : 8 bis, Rue Schlumberger, ​92430 MARNES LA COQUETTE
Tel : 01.47.41.65.31
Mail : [email protected].
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​VILLANT (?).
ECOLE FRANÇAISE.
Le Palais de la Légion d’honneur.

Aquarelle animée de personnages, signée et datée «1839», en bas à droite.
15 x 26,5 cm.
B.E.
Encadrée sous verre.
NB.: intéressante vue avant la construction de la gare d’Orsay (1897-1900)
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HENRI LOUIS LEVASSEUR (1853-1934).
L’Empereur Napoléon Ier à cheval.

Bronze à patine mat et doré signé sur la terrasse.
Porte un cartouche « Les concurrents du 1er tour de France automobile à A. Steines ».
Cachet « Société des Bronzes de Paris » et porte le n° « 3293 ».
Haut. : 60 cm. L. 65 cm.

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RARE ET GRAND PORTEFEUILLE
à six soufflets en maroquin vert, avec inscription au petit fer à l’or sur le devant :
« Secrétaire des Commandemens de S.M. la Reine de Hollande »,
« Maisons Impériales d’Ecouen et de St Denis
»,
bordé d’une frise alternée de feuillages et de motifs représentant les Arts. Les six soufflets se serrent par un cordon en coton vert tressé.
Rabat doublé de maroquin rouge orné au petit fer à l’or d’une frise d’entrelacs.
Intérieur doublé de moire verte comportant cinq compartiments/volets de séparations. Les volets sont protégés par un rabat en maroquin rouge décoré en suite.
Le portefeuille se ferme par une serrure en forme d’écu gravée d’un soleil rayonnant et d’une frise, à cinq points d’ancrage. Avec sa clé à âme triangulaire.
Bon état. Epoque Ier Empire (usure de service et du temps).
Long. 48,5 cm. Ht. : 34 cm. Epaisseur fermé à la base : 6,5 cm.
Provenance :
Collection Emile Brouwet, Maître Henri Baudouin, vente du 27 et du 28 mai 1935 sous le n°286, reproduit au catalogue.
 Historique :
Hortense de BEAUHARNAIS (Paris 1783 - Arenenberg 1837), fille d’Alexandre de BEAUHARNAIS et de Joséphine TASCHER de la PAGERIE, soeur d’Eugène de BEAUHARNAIS.
Elle épousa Louis BONAPARTE par raison d’état contre sa volonté en 1802 et devint Reine de Hollande en 1806. Trois enfants naquirent de son union avec Louis Bonaparte dont Louis-Napoléon, le futur Napoléon III (1808).
À la chute de l’Empire, elle est faite duchesse de Saint-Leu par Louis XVIII, sur la demande du tsar Alexandre, et, au retour de l’île d’Elbe, elle tient la cour de Napoléon: c’est chez elle, à Malmaison, qu’il se retire en juin 1815, après la seconde abdication. Exilée par la seconde Restauration, Hortense, grâce à la protection de Metternich, se réfugie en Suisse, où elle achète le château d’Arenenberg (1817).
 René-François Vallet, comte de Villeneuve, né en 1777 à Paris, est issu d’une ancienne famille de l’Anjou, son père était un des trois membres du Comité des Finances et trésorier de la ville de Paris.
Le Premier Consul confia à René plusieurs missions diplomatiques que le jeune homme remplit avec habilité. Il fut nommé chambellan du prince Louis en1804 puis chambellan de la reine Hortense et secrétaire des commandements de la Reine de Hollande en 1807.
En 1809, Napoléon avait nommé la reine Hortense, princesse protectrice des Maisons impériales d’éducation.
Notre portefeuille, ayant appartenu à Vallet, était consacré aux nombreuses correspondances entre les directrices des maisons.
 Le château d’Écouen est l’endroit où fut installée la première maison d’éducation destinée à accueillir les jeunes filles nobles de petite fortune ou les filles des légionnaires morts pour la France. Les premières élèves des Maisons d’éducation furent nommées en 1807 et entrèrent en septembre au château d’Écouen. Une deuxième Maison fut créée à Saint-Denis en 1809, qui n’ouvrit ses portes qu’en 1812 sous la direction de Madame du Bouzet, veuve d’un colonel mort à Jemmapes.
Entre-temps, le 16 décembre 1809, la reine Hortense fut nommée princesse protectrice des Maisons. Elle visita Écouen à plusieurs reprises. Les élèves méritantes lui étaient alors présentées.
 On peut dater notre portefeuille de la période 1809-1810, puisqu’à partir de 1809 les deux maisons existent (même si la Maison de Saint Denis n’est que théorique, les premiers cours étant dispensés à partir de 1812) et jusqu’en 1810 puisque la Reine Hortense perd théoriquement ce titre (la Hollande étant annexée à l’Empire).

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BEL UNIFORME A BASQUES D’ENFANT OU D’ADOLESCENT,
au modèle des uniformes de fusiliers d’infanterie de ligne du Ier Empire.

En fin drap bleu.
Plastron blanc se fermant par six agrafes, orné de sept boutons à l’aigle couronnée, prolongé de son gilet attenant au drap blanc, fermant par six boutons en suite, à deux fausses poches en pointe.
Colet, parement et passepoil rouges.
Doublé d’une fine toile ivoire. Brodé d’un « J » au revers du col.
Basques doublées de drap rouge, à deux fausses poches, six boutons à l’aigle et deux boutons de ceinture et un sabre briquet bien au modèle, de fabrication soignée également.
Poignée et monture en bronze. Garde à une branche.
Lame courbe à dos arrondi à la pointe. Fourreau en cuir à deux garnitures.
Avec sa dragonne en passementerie et gland blanc.
B.E. très belle fabrication du XIXe siècle.
N.B. : vu la qualité, fabrication d’un tailleur militaire, ce modèle pourrait être rapproché des uniformes qui avaient été fabriqués pour le Prince impérial (élément rapporté par une tradition familiale).

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MANUFACTURE FRANÇAISE DU XIXe SIECLE.
Papier peint
représentant un important trophée napoléonien, constitué du chapeau de l’Empereur Napoléon Ier sur fond de chêne et de laurier, d’un glaive au chiffre «N» et des insignes de la Légion d’honneur et de la couronne de fer.
Papier peint imprimé couleur.
B.E. Époque Ier Empire.
75 x 100 cm
Encadré sous verre.

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EMMANUEL FREMIET (1824-1910).
Carabinier à cheval en grande tenue de service (1852-1865).

Bonze à patine foncée signé sur la terrasse « E. Fremiet ».
B.E. Belle patine. Époque Second Empire.
Ht sur terrasse : 37 cm x 27 cm.

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RARE ET HISTORIQUE PAIRE DE BRETELLES ATTRIBUEE AU GENERAL CAMBRONNE,
à quatre branches, deux fixes et deux à boutonnières.
Deux branches brodées de rameaux de feuilles de chênes et de feuilles de laurier entrecoupés de fleurs et bourgeons ; ourlées et doublées de satin ivoire.
Deux branches à élastiques doublées de peau, renforcées de cuir naturel aux extrémités, dont deux ovales à boutonnières. Élastiques à dix ressorts «boudin» finement reliés et recouverts de peau ivoire tressée et lacée.
T.B.E. Epoque Ier Empire.
Long. 68 cm, dont 48 cm brodée. Larg. 5 cm.
Provenance:
Vente Quimper, octobre 2007.
« De passage au château de Keraval, (commune de Plomemin, Finistère), le général avait laissé en souvenir ces reliques qui on été récupérées par la suite par le gardien du château ».
 Biographie :
Cambronne Pierre, Général, pair de France (Nantes, 1770-1842).
Volontaire de 1791, fait les campagnes des armées de la République, notamment en Vendée, en Irlande et dans la Confédération helvétique où il se distingue à la prise de Zurich. Proclamé 2e grenadier de France après la mort de La Tour d’Auvergne (1800).
Se distingue dans toutes les campagnes sous le Ier Empire, plusieurs fois blessé. Passé dans la garde en 1809, devient général en 1813. Suit l’Empereur à l’île d’Elbe et commande le bataillon de la garde. A Waterloo, commande le carré du 2e bataillon du 1er chasseur de la garde, est blessé grièvement et fait prisonnier, après avoir répondu aux sommations anglaises par l’apostrophe qui l’a rendu célèbre et dont il a néanmoins nié la paternité (« Merde ! La garde meurt mais ne se rend pas »).
Rentré en France, il est traduit devant un conseil de guerre. Défendu par Berryer, il est acquitté. De 1820 à 1822, il commande la subdivision du Nord.
En 1820, Louis XVIII le nomme commandant de la place de Lille avec le grade de maréchal de camp, puis le fait vicomte au mois d’août 1822. Cambronne prend alors sa retraite. Il est fait grand officier de la Légion d’honneur en 1831.
 N.B. : Ces bretelles sont au même modèle et de la même fabrication que celles de l’Empereur Napoléon Ier vendues à Fontainebleau, Etude Osenat, le 27/04/2025, n°317.

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COFFRET NECESSAIRE DE VOYAGE.
Platine frappée « Fait par Maire Fabt de nécessaire Rue St André n°15 à Paris ».
En acajou, couvercle orné d’une plaque rectangulaire au centre, bords, coins de renfort, onglet et deux poignées escamotables en laiton.
Gainé à l’intérieur de maroquin rouge décoré à l’or au petit fer.
Ouvert, il présente :
-dans le couvercle :
une poche à courrier en maroquin vert recouverte par un miroir (postérieur).
-En partie basse :
une soucoupe et une tasse en porcelaine blanche et jaune décorées à l’or, deux étuis cylindriques en ébène, un verre en cristal couvert, deux petits flacons, un encrier, deux autres flacons à bouchons à vis et une petite cafetière à manche en bois tourné.
-Au centre :
deux plateaux mouvementés superposés.
Celui du dessous contient cinq éléments composites et postérieurs : un canif, une cuillère, un dé, deux bobines en étoile.
Celui du dessus contient sept éléments composites et postérieurs : canif, cure oreille….
Coffret en bon état (manque la clé, petits accidents à un flacon, manque neuf accessoires).
Epoque Ier Empire.

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