JEAN-CLAUDE DEY EXPERT EN ARMES ANCIENNES ET SOUVENIRS HISTORIQUES
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Le dimanche 22 juin 2025 à 15h30, à Fontainebleau, avec l'étude Osenat.

7/4/2025

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Le dimanche 22 juin 2025 à 15h30,
à Fontainebleau, avec l'étude Osenat.

L'EMPIRE À FONTAINEBLEAU



INFORMATIONS PRATIQUES ET CONTACTS :
​Osenat
Hôtel d'Albe
9-11 rue Royale, 77300 Fontainebleau

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Expert de la vente :
Jean-Claude DEY

Expert honoraire près de la Cour d'Appel de Versailles
Ancien Assesseur près la Commission de Conciliation et d'Expertise Douanière
Membre du S.F.E.P.

Adresse : 8 bis, Rue Schlumberger, ​92430 MARNES LA COQUETTE
Tel : 01.47.41.65.31
Mail : [email protected].
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VILLANT (?).
ECOLE FRANÇAISE.
Le Palais de la Légion d’honneur.

Aquarelle animée de personnages, signée et datée «1839», en bas à droite.
15 x 26,5 cm.
B.E.
Encadrée sous verre.
NB.: intéressante vue avant la construction de la gare d’Orsay (1897-1900)
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HENRI LOUIS LEVASSEUR (1853-1934).
L’Empereur Napoléon Ier à cheval.

Bronze à patine mat et doré signé sur la terrasse.
Porte un cartouche « Les concurrents du 1er tour de France automobile à A. Steines ».
Cachet « Société des Bronzes de Paris » et porte le n° « 3293 ».
Haut. : 60 cm. L. 65 cm.
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RARE ET GRAND PORTEFEUILLE
à six soufflets en maroquin vert, avec inscription au petit fer à l’or sur le devant :
  • « Secrétaire des Commandemens de S.M. la Reine de Hollande »,
« Maisons Impériales d’Ecouen et de St Denis »,
bordé d’une frise alternée de feuillages et de motifs représentant les Arts. Les six soufflets se serrent par un cordon en coton vert tressé.
Rabat doublé de maroquin rouge orné au petit fer à l’or d’une frise d’entrelacs.
Intérieur doublé de moire verte comportant cinq compartiments/volets de séparations. Les volets sont protégés par un rabat en maroquin rouge décoré en suite.
Le portefeuille se ferme par une serrure en forme d’écu gravée d’un soleil rayonnant et d’une frise, à cinq points d’ancrage. Avec sa clé à âme triangulaire.
Bon état. Epoque Ier Empire (usure de service et du temps).
Long. 48,5 cm. Ht. : 34 cm. Epaisseur fermé à la base : 6,5 cm.

Provenance :
Collection Emile Brouwet, Maître Henri Baudouin, vente du 27 et du 28 mai 1935 sous le n°286, reproduit au catalogue.
 Historique :
Hortense de BEAUHARNAIS (Paris 1783 - Arenenberg 1837), fille d’Alexandre de BEAUHARNAIS et de Joséphine TASCHER de la PAGERIE, soeur d’Eugène de BEAUHARNAIS.
Elle épousa Louis BONAPARTE par raison d’état contre sa volonté en 1802 et devint Reine de Hollande en 1806. Trois enfants naquirent de son union avec Louis Bonaparte dont Louis-Napoléon, le futur Napoléon III (1808).
À la chute de l’Empire, elle est faite duchesse de Saint-Leu par Louis XVIII, sur la demande du tsar Alexandre, et, au retour de l’île d’Elbe, elle tient la cour de Napoléon: c’est chez elle, à Malmaison, qu’il se retire en juin 1815, après la seconde abdication. Exilée par la seconde Restauration, Hortense, grâce à la protection de Metternich, se réfugie en Suisse, où elle achète le château d’Arenenberg (1817).
 René-François Vallet, comte de Villeneuve, né en 1777 à Paris, est issu d’une ancienne famille de l’Anjou, son père était un des trois membres du Comité des Finances et trésorier de la ville de Paris.
Le Premier Consul confia à René plusieurs missions diplomatiques que le jeune homme remplit avec habilité. Il fut nommé chambellan du prince Louis en1804 puis chambellan de la reine Hortense et secrétaire des commandements de la Reine de Hollande en 1807.
En 1809, Napoléon avait nommé la reine Hortense, princesse protectrice des Maisons impériales d’éducation.
Notre portefeuille, ayant appartenu à Vallet, était consacré aux nombreuses correspondances entre les directrices des maisons.
 Le château d’Écouen est l’endroit où fut installée la première maison d’éducation destinée à accueillir les jeunes filles nobles de petite fortune ou les filles des légionnaires morts pour la France. Les premières élèves des Maisons d’éducation furent nommées en 1807 et entrèrent en septembre au château d’Écouen. Une deuxième Maison fut créée à Saint-Denis en 1809, qui n’ouvrit ses portes qu’en 1812 sous la direction de Madame du Bouzet, veuve d’un colonel mort à Jemmapes.
Entre-temps, le 16 décembre 1809, la reine Hortense fut nommée princesse protectrice des Maisons. Elle visita Écouen à plusieurs reprises. Les élèves méritantes lui étaient alors présentées.
 On peut dater notre portefeuille de la période 1809-1810, puisqu’à partir de 1809 les deux maisons existent (même si la Maison de Saint Denis n’est que théorique, les premiers cours étant dispensés à partir de 1812) et jusqu’en 1810 puisque la Reine Hortense perd théoriquement ce titre (la Hollande étant annexée à l’Empire).
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BEL UNIFORME A BASQUES D’ENFANT OU D’ADOLESCENT, au modèle des uniformes de fusiliers d’infanterie de ligne du Ier Empire.
En fin drap bleu.
Plastron blanc se fermant par six agrafes, orné de sept boutons à l’aigle couronnée, prolongé de son gilet attenant au drap blanc, fermant par six boutons en suite, à deux fausses poches en pointe.
Colet, parement et passepoil rouges.
Doublé d’une fine toile ivoire. Brodé d’un « J » au revers du col.
Basques doublées de drap rouge, à deux fausses poches, six boutons à l’aigle et deux boutons de ceinture et un sabre briquet bien au modèle, de fabrication soignée également.
Poignée et monture en bronze. Garde à une branche.
Lame courbe à dos arrondi à la pointe. Fourreau en cuir à deux garnitures.
Avec sa dragonne en passementerie et gland blanc.
B.E. très belle fabrication du XIXe siècle.
N.B. : vu la qualité, fabrication d’un tailleur militaire, ce modèle pourrait être rapproché des uniformes qui avaient été fabriqués pour le Prince impérial (élément rapporté par une tradition familiale).
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MANUFACTURE FRANÇAISE DU XIXe SIECLE.
Papier peint r
eprésentant un important trophée napoléonien, constitué du chapeau de l’Empereur Napoléon Ier sur fond de chêne et de laurier, d’un glaive au chiffre «N» et des insignes de la Légion d’honneur et de la couronne de fer.
Papier peint imprimé couleur.
B.E. Époque Ier Empire.
75 x 100 cm
Encadré sous verre.
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EMMANUEL FREMIET (1824-1910).
Carabinier à cheval en grande tenue de service
(1852-1865).
Bonze à patine foncée signé sur la terrasse « E. Fremiet ».
B.E. Belle patine. Époque Second Empire.
Ht sur terrasse : 37 cm x 27 cm.
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RARE ET HISTORIQUE PAIRE DE BRETELLES ATTRIBUEE AU GENERAL CAMBRONNE,
à quatre branches, deux fixes et deux à boutonnières.
Deux branches brodées de rameaux de feuilles de chênes et de feuilles de laurier entrecoupés de fleurs et bourgeons ; ourlées et doublées de satin ivoire.
Deux branches à élastiques doublées de peau, renforcées de cuir naturel aux extrémités, dont deux ovales à boutonnières. Élastiques à dix ressorts «boudin» finement reliés et recouverts de peau ivoire tressée et lacée.
T.B.E. Epoque Ier Empire.
Long. 68 cm, dont 48 cm brodée. Larg. 5 cm.

Provenance:
Vente Quimper, octobre 2007.
« De passage au château de Keraval, (commune de Plomemin, Finistère), le général avait laissé en souvenir ces reliques qui on été récupérées par la suite par le gardien du château ».
 Biographie :
Cambronne Pierre, Général, pair de France (Nantes, 1770-1842).
Volontaire de 1791, fait les campagnes des armées de la République, notamment en Vendée, en Irlande et dans la Confédération helvétique où il se distingue à la prise de Zurich. Proclamé 2e grenadier de France après la mort de La Tour d’Auvergne (1800).
Se distingue dans toutes les campagnes sous le Ier Empire, plusieurs fois blessé. Passé dans la garde en 1809, devient général en 1813. Suit l’Empereur à l’île d’Elbe et commande le bataillon de la garde. A Waterloo, commande le carré du 2e bataillon du 1er chasseur de la garde, est blessé grièvement et fait prisonnier, après avoir répondu aux sommations anglaises par l’apostrophe qui l’a rendu célèbre et dont il a néanmoins nié la paternité (« Merde ! La garde meurt mais ne se rend pas »).
Rentré en France, il est traduit devant un conseil de guerre. Défendu par Berryer, il est acquitté. De 1820 à 1822, il commande la subdivision du Nord.
En 1820, Louis XVIII le nomme commandant de la place de Lille avec le grade de maréchal de camp, puis le fait vicomte au mois d’août 1822. Cambronne prend alors sa retraite. Il est fait grand officier de la Légion d’honneur en 1831.
 N.B. : Ces bretelles sont au même modèle et de la même fabrication que celles de l’Empereur Napoléon Ier vendues à Fontainebleau, Etude Osenat, le 27/04/2025, n°317.
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COFFRET NECESSAIRE DE VOYAGE.
Platine frappée « Fait par Maire Fabt de nécessaire Rue St André n°15 à Paris ».
En acajou, couvercle orné d’une plaque rectangulaire au centre, bords, coins de renfort, onglet et deux poignées escamotables en laiton.
Gainé à l’intérieur de maroquin rouge décoré à l’or au petit fer.
Ouvert, il présente :
-dans le couvercle :
une poche à courrier en maroquin vert recouverte par un miroir (postérieur).
-En partie basse :
une soucoupe et une tasse en porcelaine blanche et jaune décorées à l’or, deux étuis cylindriques en ébène, un verre en cristal couvert, deux petits flacons, un encrier, deux autres flacons à bouchons à vis et une petite cafetière à manche en bois tourné.
-Au centre :
deux plateaux mouvementés superposés.
Celui du dessous contient cinq éléments composites et postérieurs : un canif, une cuillère, un dé, deux bobines en étoile.
Celui du dessus contient sept éléments composites et postérieurs : canif, cure oreille….
Coffret en bon état (manque la clé, petits accidents à un flacon, manque neuf accessoires).
Epoque Ier Empire.
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Le dimanche 22 juin 2025 à 14h00, à Fontainebleau, avec l'étude Osenat.

7/4/2025

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Le dimanche 22 juin 2025 à 14h00,
à Fontainebleau, avec l'étude Osenat.
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Les collections impériales du comte et de la comtesse Charles-André Colonna Walewski

INFORMATIONS PRATIQUES ET CONTACTS :

​Osenat
Hôtel d'Albe
9-11 rue Royale, 77300 Fontainebleau

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Expert de la vente :
Jean-Claude DEY

Expert honoraire près de la Cour d'Appel de Versailles
Ancien Assesseur près la Commission de Conciliation et d'Expertise Douanière
Membre du S.F.E.P.

Adresse : 8 bis, Rue Schlumberger, ​92430 MARNES LA COQUETTE
Tel : 01.47.41.65.31

Mail : [email protected].
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École française du XIXe siècle.
Bonaparte Premier Consul, vers 1800.

Grand et beau médaillon rond à suspendre, en verre églomisé noir et or, représentant le Premier Consul en uniforme, en buste de profil, entouré de deux branches de feuilles de chêne liées vers le bas et enrichies en partie haute d’une couronne de dix étoiles.
Encadré de laiton doré à décor d’une petite frise mouvementée, l’ensemble dans un cadre en bois noirci.
Diam. hors tout : 21 cm.
B.E. Époque Consulat (petites taches ne touchant pas le sujet).

 Provenance :
- Collection comte et comtesse Charles-André Colonna Walewski
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Précieux cheveux de l’Empereur Napoléon Ier.
Présentés dans un papier plié en trois parties et bordé, avec inscription à la plume « Cheveux de l’Empereur Napoléon Ier coupés au retour de l’ile d’Elbe le 21 mars 1815. Donné par Mr Aly St Denis ».
Taille du papier (servant d’enveloppe comme il était d’usage à l’époque pour les cheveux offerts)

7,8 x 3,8 cm.
 Provenance :
Collection comte et comtesse Charles-André Colonna Walewski
 Biographie :
Louis-Etienne Saint-Denis Ali, dit le Mameluk Aly, 1788-1856, valet de chambre de Napoléon. Issu d’une famille de domestiques attachée au château de Versailles, il reçut une bonne éducation, fut petit-clerc de notaire à Paris puis entra aux équipages de la Maison en Espagne, en Allemagne, en Hollande. Passa au service intérieur comme second mameluck en 1811 et reçut le surnom d’Ali. Rejoignit l’île d’Elbe après avoir été retenu prisonnier à Mayence et devint alors premier mameluck. Des Cent-Jours à Sainte-Hélène, il ne quitta plus Napoléon un seul jour.
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Martin Guillaume BIENNAIS (1764-1843)
Catherine, Reine de Westphalie

Buste en bronze doré ciselé de la série des « Napoléonides ».

Sur piédouche décoré de frises perlée et guillochée.
Reposant sur une colonne ronde ornée sur le devant du chiffre « C » sous couronne impériale, décorée en partie haute et en partie basse d’une frise de raies de cœur et gravée sur le devant de la terrasse : « BIENNAIS ORFre DE LL.MM. IMPles ET ROYles A PARIS ».
Porte en dessous une étiquette avec n° « 332 », marquée « Dorure au mercure ».
Ht : 26 cm.
B.E. Époque Premier Empire. (quelques frottements).
 Provenance :
- Collection comte et comtesse Charles-André Colonna Walewski
 Historique :
Notre buste fait partie de la série des « Napoléonides » commencée par Biennais à partir de 1810.
D’une belle qualité de ciselure, notre buste représente Catherine, Reine de Westphalie.
Fait à partir d’une ébauche sculptée en cire rose, chaque exemplaire possède plusieurs types de socle : rond ou carré, ornés du chiffre du sujet représenté, parfois on retrouve ces bustes sous la forme de pendules.
Œuvres en rapport :
- Plusieurs exemplaires connus de différents membres de la famille impériale : Murat, Jérôme, Caroline, Louis, Marie Louise, Catherine.
- Des exemplaires conservés dans les collections de la Fondation Napoléon, de la Princesse Napoléon et du château de Fontainebleau.
- Un modèle préparatoire en cire rose provenant de la descendance de Biennais, vendu à Angers (La Perraudière 19 janvier, 2022)
- Buste de l’Empereur Napoléon Ier en uniforme de colonel, portant les insignes de la Légion d’honneur et de la Couronne de fer, et la plaque de la Légion d’honneur. Vente collection Jean Louis Noisiez, n°222, Osenat, 7 juillet 2024
- Buste avec pendule de Jérôme Napoléon en uniforme portant l’ordre de la Couronne de Westphalie. Osenat, vente l’Empire à Fontainebleau, n°139, décembre 2024.
- Deux autres exemplaires de bustes en bronze doré de Catherine de Wurtemberg se trouvent dans la collection Bruno Ledoux et dans la collection de la Princesse Napoléon, Prangins (Suisse).
Bibliographie :
- Guy Ledoux Lebard, « La série des petits bustes en bronze des napoléonides par l’orfèvre Biennais » in Bulletin de la Société d’Histoire de l’Art Français, 1990 (année 1989 ) , p .130-142
- Elliott Joffre, « Les Napoléonides », article disponible sur le site « Napoléon.org ».
Biographie :
La princesse Catherine de Wurtemberg, par son mariage princesse Catherine Bonaparte, reine de Westphalie, est née à Saint-Pétersbourg (Russie) le 21 février 1783 et morte à Lausanne (Suisse) le 29 novembre 1835. Fille de Frédéric Ier, roi de Wurtemberg, et de la reine Augusta, de la maison de Brunswick- Wolfenbuttel, nièce de la Tsarine, elle épousa le 22 août 1807 à Paris Jérôme Bonaparte, roi de Westphalie, frère de Napoléon Ier.
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Philippe JACOB TREU (1761-1825), dit TREU de BÂLE.
Le Roi de Rome.

Buste en bronze gravé sur le devant « Fçois Cles Napoléon Roi de Rome né à Paris le 20 mars 1811 » et, sur le côté, « Sculpté d’après Nature à Meudon au printemps 1812 par Treu de Bâle ».
Présenté sur un socle en marbre gris et terrasse en marbre jaune de Sienne (petits éclats).
Ht sujet : 100 x 40 mm.
Ht sur socle : 185 mm.
 Provenance :
- Ancienne galerie Roger Imbert (Paris) à la fin des années 1970.
- Collection comte et comtesse Charles-André Colonna Walewski
Œuvres en rapport :
On connait plusieurs exemplaires de ce petit buste dont le modèle, comme l’indique l’inscription, a été exécuté lors du premier séjour du roi de Rome à Meudon, d’avril à juillet 1812. Les bustes annotés sont très rares et sont ceux faits sous le Ier Empire. L’original du buste, fait d’après nature, fut exposé au salon de 1812 sous le n°1150.
Ce modèle de buste fit l’objet de plusieurs expositions, il fut notamment présenté à l’Orangerie en 1932, mais également lors de l’exposition “La Pourpre et l’exil. L’Aiglon et le Prince impérial” au Musée national du château de Compiègne (2004-2005).
Un exemplaire similaire se trouve également au musée de Bâle.
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MOUCHOIR DE L’EMPEREUR NAPOLEON Ier en fins fils blancs.
Grand mouchoir en linon blanc brodé sur un angle au chiffre « N » sous couronne impériale.
(plis et tâches de rouille).
70 x 71 cm.
Plié dans un papier avec inscription manuscrite à l’encre :
« Mouchoir de l’Empereur Napoléon venant de Sainte Hélène et donné après sa mort à Mr Frère par Mr Marchand, valet de chambre de l’Empereur. Donné par Mr Frère à Mr Charles Thélin, valet de chambre du prince Louis Napoléon le 6 Xbre 1837. Mr Frère avait reçu dix de ces mouchoirs et il conserva un pour lui et son héritier ».
 
Provenance :
- Collection Emmanuel Fabius.
- Collection comte et comtesse Charles-André Colonna Walewski
 Expositions :
Fondation Albertina de Vienne, Les premières heures de l’Albertina. Entre Dürer et Napoléon, du 14 mars au 26 juin 2014
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Martin Guillaume BIENNAIS (1764-1843).
«Louis Napoléon »
 en uniforme de général, portant les insignes et la plaque de la Légion d’honneur.
Buste en bronze doré ciselé de la série des « Napoléonides ».
Fonte unique.
Sur piédouche décoré de frises perlées et guillochées.
Reposant sur un socle carré orné sur le devant de la couronne impériale qui surmonte le chiffre, (qui manque), décoré en partie haute et en partie basse d’une frise de raies de cœur et signé au dos de la terrasse : « BIENNAIS ORFre DE LL.MM. IMPles ET ROYles A PARIS »
Ht : 26,5 cm.
B.E. Époque Premier Empire. (frottement sur le socle).
 Provenance :
- Collection F.J.B. Watson, directeur de la Wallace Collection puis ses descendants.
- Collection comte et comtesse Charles-André Colonna Walewski
 Exposition :
« le Roi Louis Napoléon et la Hollande de son époque », Institut Néerlandais, Paris 1959. Rijksmuseum, Amsterdam, 1959, n°34 du catalogue.
 Historique :
Notre buste fait partie de la série des « Napoléonides » commencée par Biennais à partir de 1810.
D’une qualité de ciselure rare, notre buste représente Louis Napoléon en uniforme, portant les insignes et la plaque de la Légion d’honneur.
Fait à partir d’une ébauche sculptée en cire rose, chaque exemplaire possède plusieurs types de socle : rond ou carré ornés du chiffre du sujet représenté, parfois on retrouve ces bustes sous la forme de pendules.
Œuvres en rapport :
- Plusieurs exemplaires connus de différents membres de la famille impériale : Murat, Jérôme, Caroline, Louis, Marie-Louise, Catherine.
- Des exemplaires conservés dans les collections de la Fondation Napoléon, de la Princesse Napoléon et du château de Fontainebleau.
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Le dimanche 18 mai 2025 à Versailles​​ avec l'étude Osenat.

5/16/2025

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Le dimanche 18 mai 2025 à Versailles
​​avec l'étude Osenat.


LA ROYAUTÉ À VERSAILLES

INFORMATIONS PRATIQUES ET CONTACTS :
​Osenat
13 avenue de Saint-Cloud
78000 Versailles

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Expert de la vente :
Jean-Claude DEY

Expert honoraire près de la Cour d'Appel de Versailles
Ancien Assesseur près la Commission de Conciliation et d'Expertise Douanière
Membre du S.F.E.P.

Adresse : 8 bis, Rue Schlumberger, ​92430 MARNES LA COQUETTE
Tel : 01.47.41.65.31

Mail : [email protected].
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Dans le goût de la Manufacture de Sèvres.
« Les quatre saisons ».

Bel ensemble de quatre sujets en biscuit, sur consoles
en plâtre patiné argent à décor de feuillages à jours.
Hauteur sujets : 15 cm. Hauteur consoles : 20 cm.
T.B.E.
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  • Précieux étui en bois, en forme de violon, à deux charnières, à décor au verni martin de jeunes filles, fleurs, roses, oiseaux et rinceaux feuillagés.
  • Il contient un flacon à sels, en verre taillé à pans, avec son bouchon.
  • Porte une étiquette "AMPS LE J APOTHICAIRE...". Marquée à l'encre " H - VOLATIL - VINAIGNRE".
  • Dim : 10,8 x 5 cm.
  • T.B.E. Époque Louis XV.
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Le duc de bordeaux.
Chevalière du Duc de Bordeaux
 en or 18K, à décor émaillé vert et blanc. Chaton octogonal creux, portant au-dessus le chiffre « H » sous couronne de Duc et une ancre de marine, (incarnant probablement la ville de Bordeaux), logement s’ouvrant en dessous par une lamelle montée à charnière. Anneau orné de lys.
Diam. intérieur : 21 mm Diam. extérieur : 24 mm
B.E. (quelques légers éclats d’émail dus à un élargissement de l’anneau).
Présentée dans un écrin en forme, en bois recouvert de maroquin bordeaux décoré au petit fer à l’or au trait et d’un semi de fleurs de lys en bordure, garni à l’intérieur de velours bordeaux et de soie blanche.
On y joint un coffret de présentation de la bague en demi-cristal taillé à pans, reposant sur quatre pieds toupies, à couvercle en pente douce, orné et protégé en bordure d’une garniture en laiton ciselée et découpée à décor de fleurettes et branches de feuillages. Garni à l’intérieur d’un coussinet en soie bleu.
9,8 x larg.9,5 cm x Haut. 7,5 cm.
T.B.E.
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Ensemble de la famille de Girardin.
-Blason d’alliance aux armes d’Alfred René Marie Jean Eugène de GIRARDIN, (1825-1920) et de Louise SIOC’HAN de KERSABIEC, (1840-1916)
, portant, suspendu, l’ordre d’officier de La Légion d’honneur, la médaille de Crimée et la médaille de la campagne d’Italie.
Aquarelle signée « Eug. Collomb del fecit 1877 ».
24 x 31 cm.
Sous verre. Cadre doré.
A.B.E. traces d’humidité.
 N.B. : Stylite et Eulalie SIOC’HAN de KERSABIEC formaient la garde rapprochée de la duchesse de Berry pendant les guerres de Vendée, 1830.
 -Sabre d’officier de cavalerie modèle 1822 de Monsieur Alfred René Marie
Jean Eugène de GIRARDIN.

Monture en bronze ciselé et doré. Poignée en corne. Garde à quatre branches ciselées. Lame droite en beau damas frisé, à dos arrondi, contre-tranchant et double pans creux, gravée, dorée et bleuie au tiers, sur le devant, au blason sous couronne de comte, orné de part et d’autre de motifs feuillagés. Fourreau en fer à deux bracelets et deux anneaux de suspente travaillé à facettes.
A.B.E. (manque le filigrane, fourreau oxydé).

Alfred René Marie Jean Eugène de GIRARDIN, (1825-1920). Chef d'escadrons au 2ème régiment de chasseurs d'Afrique, promu officier de la Légion d’honneur le 21 avril 1874.
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Sèvres.
Louis-Philippe. Service des officiers.

Deux bols avec leurs soucoupes, en porcelaine blanche au chiffre Royal or. Cachets rouge château Trianon, cachets bleu Sèvres 1846.
On y joint un pot à lait en porcelaine blanche au chiffre Royal or. Cachet rouge château Trianon, cachets bleu Sèvres 1845.
B.E.
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Forte épée des chevau-légers de la Maison du Roi.
Fusée entièrement filigranée de fils et lamelles argentés. Pommeau
rond travaillé à côtes de melon. Belle monture en bronze argenté,
à garde à multiples branches à jour, à pas d'âne et quillon courbé.
Coquille bivalve. Longue lame à méplat et arête médiane.
B.E. Vers 1730-1750.
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Châtelaine en vermeil à quatre motifs, le plus important décoré d'un couple de colombes retenant en pampille quatre cachets en argent et métal et un verre blanc facetté rapportés postérieurement.
XIXe siècle.
Haut hors tout : 21 cm. Poids brut : 88g.
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Ensemble de trois pièces, ordonnance, traité, discours :
 
-"Ordonnance du Roi portant fur le fervice de l'infanterie en campagne du 17 février 1753".
A Paris. De l'Imprimerie Royale M.DCCLIII. 117 pages reliées au fil.
 
-Discours prononcé dans l'église métropolitaine d'Auch pour la bénédiction des guidons du régiment du Roi.
Dragon. Le 28 septembre 1781. Seconde édition. A Paris chez Daumon.
44 pages reliées au fil. M.DCCLXXXII.
 
-Traité et convention pour les malades, blessés et prisonniers de guerre des troupes auxiliaires de Sa Majesté très chrétienne, et celle des alliés.
Fait à Francfort Fur le Mayn le 18 juillet 1743. A Lille, Imprimerie Veuve de C.M. Cramé.
20 pages reliées papier.
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Magnifique et imposant verre calice sur pied de Monsieur Eugène de Girardin.
Grand verre en cristal ocre de Bohême, à six pans, orné de cinq médaillons à décor d’un cerf en sous-bois dans différentes attitudes, le sixième médaillon restant uni (probablement pour y mettre un chiffre).
Sur pied, à six pans, s’évasant et se terminant en fleur à douze pétales.
Ce verre aurait été donné lors de l’entrevue de la majorité du Comte de Chambord à Butschirad le 27 IX 1833.
T.B.E.
Haut. 19,5 cm.
Diam au buvant. 10,3 cm.
Diam au pied. 11 cm.
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Service du Roi Louis-Philippe.
Bel ensemble composé d’une carafe et de deux grands verres, au portrait et au chiffre du roi Louis-Philippe Ier, dernier Roi de France, (1830-1848).

-Carafe en cristal de Baccarat.
Bouchon en fleur à huit pétales. Col évasé à trois anneaux superposés taillés à pans. Corps à sept facettes dont six ornées d’un drapé, encadrant, au centre, un médaillon enrichi d’un portrait du roi Louis-Philippe Ier en sulfure.
Sur pied rond taillé en étoile.
-Accompagnée de deux grands verres sur pieds en cristal de Baccarat. Buvants légèrement évasés. Corps gravés au chiffre du Roi « LP » sous couronne, enrichi de quatorze pans légèrement creux en pétales. Pieds ronds en deux parties entrecoupées d’un anneau, reposant sur une large base ronde.
Ht de la carafe : 25 cm.
Ht de chaque verre : 20 cm.
L’un des verres est gravé de l’initiale « F » pour le château de Fontainebleau ; l’autre verre de l’initiale « T » pour le château de Trianon ou des Tuileries.
Les trois pièces en parfait état.
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Rare sabre de cavalerie suisse.
Poignée en laiton. Pommeau ciselé d'une tête d'animal fantastique.
Monture en fer. Garde à deux branches à une coquille à décor
repoussé de grotesques. Poucier et quillon courbe. Lame courbe,
à dos plat, contre tranchant et gouttières, gravée au tiers de fleurs,
dextrochère, oiseau et "cocardes Rey parva...".
A.B.E. S.F. Vers 1700/1720.
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Le samedi 26 et le dimanche 27 avril 2025 à Fontainebleau, ​​avec l'étude Osenat.

5/6/2025

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Le samedi 26 et le dimanche 27 avril 2025
à Fontainebleau, ​​avec l'étude Osenat.



L'EMPIRE A FONTAINEBLEAU

Souvenirs historiques et militaires


INFORMATIONS PRATIQUES ET CONTACTS :
​Osenat 
9-11, rue Royale
​77300 Fontainebleau



Expert de la vente :
​
Jean-Claude Dey
Expert honoraire près de la Cour d'Appel de Versailles
Ancien Assesseur près la Commission de Conciliation et d'Expertise Douanière
Membre du S.F.E.P.

Adresse : 8 bis, Rue Schlumberger,
​92430 MARNES LA COQUETTE

Tel : 01.47.41.65.31
Mail : [email protected].
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Beau cachet en bronze argenté et ciselé ayant appartenu au général d'Artillerie AULMONT de VERRIERES Nicolas Grégoire (1746-1831).
Poignée à trois faces, ciselée des attributs scientifiques et des arts, ornée de trois dauphins portant un globe.
Cachet en acier ciselé aux armes surmonté d'un heaume.
T.B.E. Epoque premier Empire.

Biographie :
AULMONT de VERRIERES Nicolas Grégoire. Entré au service, en 1762, dans les gendarmes de la garde du roi, passe ensuite dans le corps de l'artillerie, est employé en qualité de capitaine à l'arsenal de Metz en 1783, et avec le même grade et la croix de Saint-Louis, en 1790. Commande en second l'arme du génie, nommé le 30 août 1793 chef de brigade, sert à l'armée des Pyrénées orientales, en 1794 et 1795 ; promu au grade de général de brigade, le 16 octobre 1795. Sert à l'armée d'Italie, en 1796, et commande l'artillerie au siège de Milan, qui capitule le 29 juin. Employé dans les îles Ioniennes, en 1798. Nommé, à son retour en France, commandant de l'artillerie de la 17e division militaire, et mérite un sabre d'honneur à la journée du 18 brumaire an VIII (9 novembre 1799). Employé à l'armée du général Macdonald, en 1800, il la suit au passage du Splugen, et concourt à toutes les actions de cette campagne. Fait presque toutes les campagnes qui suivent, au VIIIe corps de la Grande Armée, jusqu'en 1810, époque à laquelle il est mis à la retraite, après 58 ans et demi de services. Il a été fait commandeur de la Légion d'honneur le 14 juin 1804.
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« L’Empereur Napoléon Ier ». Magnifique tabatière rectangulaire en or, ornée sur le couvercle d’un médaillon ovale avec une miniature représentant l’Empereur Napoléon Ier,
en buste de face, tête légèrement tournée et regardant sur la droite, portant l’uniforme des chasseurs de la Garde impériale, le grand cordon de la Légion d’honneur, la plaque et l’étoile de la Légion d’honneur ainsi que l’ordre de la Couronne de Fer.
Signée sur le côté droit « Lecourt ».
Encadrée sous verre et décorée d’une frise de feuillages.
Sur fond décoré en suite ; le dessus, les côtés et le fond enrichis de fleurs stylisées à quatre pétales disposés en lignes, en diagonales, sur fond strié orné en bordure de feuillage entrecoupé de fleurettes émaillées.
Poinçon « JB » d’orfèvre et poinçon (difficilement lisible).
Miniature : 4,7 x 3,8 cm. Boite : 8,3 x 6 x Ht. 2,2 cm. Poids : 144g env.
N.B. : Un portrait de Napoléon Ier signé du même artiste et daté « 1810 » se trouve au musée historique national de Frederiksborg.
A noter : contrairement aux boites bien connues, celle-ci porte sa charnière sur le côté supérieur.

J. LECOURT, peintre sur miniature et émail. Actif à Versailles, (vers 1804-1830). Lecourt travailla à Versailles, avenue de St Cloud au n° 37. Il exposa six fois des miniatures au Salon de Paris en 1804, 1806, 1808, 1810, 1817 et 1819. On lui doit les portraits de Bernadotte et de plusieurs officiers, et de nombreuses miniatures de petit format de jeunes femmes. Il est représenté au musée Antoine Lécuyer, St-Quentin (Aisne), au Musée des Beaux-Arts de Besançon, au musée de Frederiksborg, Danemark.
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Souvenir historique du maréchal Oudinot duc de Reggio (1767-1847). Étonnant et grand fourneau de pipe,
en écume patinée, à couvercle en casque de dragons et collerette en argent.
Ht : 21 cm. Long : 24 cm.
B.E. Époque Ier Empire.

Provenance :
- Collection de Nicolas Charles OUDINOT, maréchal d'Empire, puis descendance.
-Vente du château de Malicorne, le 13 juin 2017.
Historique : « Parmi les collections de pipes précieuses, la plus remarquable était sans contredit celle que le maréchal Oudinot avait réunie dans son château de Jeandheurs (Meuse). Il y en avait de tous les temps, de toutes les formes et de tous les pays, depuis l’humble pipe de terre contemporaine de l’importation du tabac en France par Nicot jusqu’aux pipes modernes, où l'art et l'excellence du travail surpassent la matière elle-même. Une des plus précieuses était la pipe de Sobieski, que le maréchal avait reçue du corps municipal de Vienne en Autriche, en remerciement de son administration comme gouverneur de cette capitale pendant son occupation par l'armée française sous le premier empire. » Simon BLOCQUEL, « La Tabacographie, dédiée aux tobacomanes », 1861, Paris.
Biographie : Nicolas Charles OUDINOT, duc de Reggio, Maréchal de France, pair de France (1767-1847). Chef d'état-major de Masséna en Italie (1800), il participa à toutes les guerres de l'Empire et sa conduite lors de la campagne de 1809 lui valut le bâton de maréchal. Rallié à la Restauration, général en chef de la Garde nationale de Paris (octobre 1815), il fut grand chancelier de la Légion d'honneur (1839) et gouverneur des Invalides (1842).
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Magnifique épée de récompense en or, offerte à Constantin GRAVIER, comte de Vergennes, capitaine colonel des Gardes de la Porte (1815).
Travail du renommé Martin-Guillaume Biennais.
Monture en or poli brillant à fond amati.
Fusée légèrement ovalisée présentant de face trois motifs :
-au centre, un médaillon représentant le Roi Louis XVIII en buste de profil dans un encadrement perlé, surmonté d’un faisceau de drapeaux, d’une fleurette et de deux palmes et orné en dessous du motif des « Gardes de la Porte » représenté par une épée, deux clés croisées surmontées d’un soleil rayonnant couronné.
-Au dos de la fusée, trois motifs superposés : les armes de France dans un écu enrichi d’un trophée d’armes puis un médaillon représentant la déesse Athéna coiffée d’une couronne de laurier par la déesse Niké surmonté d’une renommée et de deux palmes.
Les côtés sont décorés de branches de feuilles de laurier entrecoupées d’une fleurette en leurs centres.
Pommeau en urne décoré sur chaque face d’un lion ailé, entrecoupé sur les côtés de deux frises à fleurettes et ciselé sur le dessus, dans un médaillon ovale, du buste de profil du Roi Henri IV, tête laurée, bordé d’une suite de petites perles.
Superbe branche de garde formée de deux serpents s’enroulant en dessous du pommeau et dont les queues forment les quillons.
La branche magnifiquement ciselée en demi ronde bosse de la déesse Athéna en pied, ailée et casquée, ornée au centre de la tête de Méduse et enrichie, en haut et en bas, de palmes, feuilles de chêne et feuilles d’acanthe.
Nœud de corps à décor de deux médaillons sur chaque côté représentant Apollon et Athéna, enrichi au centre de fleurettes.
Clavier de garde enrichi d’un chariot tiré par deux chevaux conduits par une victoire ailée, garni, de part et d’autre, de deux médaillons, à droite, portant les initiales « CV » entrelacées ; à gauche, orné des « Armes » de la famille Gravier de Vergennes : « Parti : au I, de gueules à trois oiseaux essorants d’argent, ceux en chef affrontés ; au II, de gueules à la croix d’argent et sur laquelle broche (en cœur), un écusson de sable à un cep de sinople et au chef d’azur chargé d’un soleil d’or ».
Petit contre-clavier à léger retroussis.
Le clavier et le contre clavier, décorés en suite, sont bordés d’une frise de rubans, feuilles de laurier et fleurettes.
Lame droite gravée, dorée et bleuie, à dos plat, avec inscription :
« Custodes Regum Antiquiares » (les plus anciens gardes des Rois), à contre tranchant et pans creux, avec cartouche sur une face « La Compagnie des Gardes de la Porte du Roi », entouré d’un filet d’or et de feuilles ; sur l’autre face, « Au comte de Vergennes, Capitaine colonel, 1er novembre 1815 ».
Fourreau en bois recouvert d’une fine peau à grains, vernie noire, à deux garnitures en or magnifiquement décorées en suite.
La chape découpée à la base, ornée d’un bracelet à fleurettes et d’un bouton en écu ciselé d’une palme et de trois petites fleurs.
La bouterolle découpée en partie haute, décorée de deux bracelets ; l’un avec frise de fleurs en suite et une seconde frise ornée d’une succession de minuscules palmettes. Dard lentille en fer bruni.
L’épée est munie de son étui de protection en bois, en forme, pour le transport, recouvert de maroquin vert, doublé de soie blanche, se fermant par huit crochets argentés (accidents, cassure et manque au niveau du clavier).
L’épée et son fourreau sont en très bon état et entièrement d’origine.
Long avec son fourreau : 98,3 cm.
Long sans fourreau : 95 cm. Long de la lame : 79,3 cm.
Largeur : 2 cm. Long du fourreau : 82,7 cm.
Poinçons d’orfèvre en forme de losanges, (illisibles), frappés sur les faces de la fusée, sur la branche et sous le clavier que l’on peut attribuer à Biennais. Poinçon d’essai « tête de bébé 2 » (1798-1838) sur la chape.
Un troisième poinçon (illisible).
Provenance :
Constantin Gravier, comte de Vergennes.
Conservée dans la famille par successions, elle faisait partie du trésor de famille provenant du comte de Vergennes.

Cette épée est de la qualité du célèbre orfèvre Martin-Guillaume Biennais (1764-1843).
N.B. : Les poinçons en losange effacés car amatis sont ceux de Biennais, l’un d’eux en laisse paraitre deux infimes détails : une petite boule sur le côté ainsi qu’une partie de la bordure.
Ce modèle d’épée est typique de la réalisation des décors et de la fabrication du célèbre orfèvre.
La garde, le décor et sa forme générale peuvent être rapprochés d’autres célèbres modèles se trouvant notamment :
- au musée de Fontainebleau : l’épée de service de Napoléon, l’épée dite aux coraux ainsi que l’épée « aux trois fourreaux » offerte au grand-duc Constantin.
​- au musée de l’Armée : l’épée dite « d’Austerlitz »…
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Pot à feu rond, à anse, en bronze, à bourrelet à la bouche et trois anneaux de renfort.
Lumière de mise à feu.
XVIIe siècle.
​Calibre : 54 mm. Diam. à la base : 128 mm. Haut: 200 mm. Poids: 12,3 Kg.
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Rare hache de bord.
Poignée en frêne noirci, rainuré.
Fer de hache gravé d’un « M » surmonté d’une pique au bonnet phrygien, dos à croc, à pans.
Avec crochet de port.
Époque révolutionnaire.
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Cadran solaire équinoxial par Andréas Vogler, Augsbourg (1730-1800).
Platine octogonale finement gravée en laiton doré comprenant une boussole argentée, gravée d'une rosace.
Arc de latitudes et anneau horaire en laiton argenté.
Signé au dos de la boussole "AND. VOGL" (Andreas Vogler Augsburg). XVIIIe siècle. B.E.
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Belle épée d’officier supérieur de marine ou d’amiral modèle de grand luxe.
Fusée en corne tachetée avec filigrane.
Monture en laiton ciselé, doré mat.
Pommeau en fleur orné de coquille et laurier.
Garde à une branche enroulée d’un cordage et surmontée de lauriers.
Clavier à l’ancre de marine encablée sur faisceau de 4 drapeaux, encadré d’une branche de feuilles de chêne et de laurier, quillon en coquille. Contre clavier dit « à pompe », repliable, ciselé en ronde bosse de l’ancre encablée, de coquille et enrichi de guirlandes de feuilles et de fleurs. Lame droite, triangulaire, à pans évidés, de « Coulaux Cie à Klingenthal ». Fourreau en cuir à deux garnitures en laiton découpé, ciselé et doré, décoré de feuillages.
​B.E. Vers 1880. Fabrication unique, sur commande particulière.
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Partie du service de l’Empereur des Français Napoléon Ier, Roi d’Italie. Martin Guillaume Biennais (1764-1843).
Assiette creuse en argent ciselée d’une suite de feuilles d’acanthe en bordure et gravée des grandes armes de l’Empereur Napoléon Ier Roi d’Italie sur le marli.
​Poinçon d’orfèvre, poinçon de garantie Paris. Poinçons au revers en bordure : Barrette de Biennais, poinçon « B » au singe violet, poinçon au Coq 1 Paris, poinçon moyenne garantie Paris 1809-1819, poinçon de l’association des orfèvres 1794/1797 et poinçon non identifié.
B.E. fond replané. Epoque Ier Empire. Diam. 23,5 cm. Poids : 468g env.
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Étonnante et rare paire de bretelles ayant appartenu à l’Empereur.
En moire ivoire recouverte d’une fine broderie ourlée, représentant huit médaillons : trois au « N », trois à l’aigle et deux aux abeilles.
L’ensemble finement encadré d’un entrelac de feuilles de chêne et de laurier.
Doublée, garnie à l’une des extrémités de pattes d’attache et se terminant à l’autre extrémité par un large élastique métallique recouvert de coton et prolongé d’attaches à boutonnières doublées de peau beige.
Bon état d’usage, traces de port, broderie parfaite.
Long. 73,5 cm. Larg. : 5,2 cm.
Provenance :
- Charles Tristan, marquis de Montholon (1783-1853)
- Charles-Jean Tristan, marquis de Montholon (1843-1899)
- Pauline Fé d’Ostiani, son épouse, puis descendance directe
Biographies :
Charles-Tristan de MONTHOLON-SEMONVILLE, (1783-1853), marquis de Montholon, comte de Lee, puis comte de l’Empire français. Débuta dans l’armée à l’âge de seize ans, comme volontaire, à la suite de l’état-major de son beau-frère Joubert. Adjoint du génie par le général en chef Championnet. Nommé lieutenant, attaché comme aide de camp au général Augereau en 1800. Capitaine en 1801. Chef d’escadrons en 1807. Adjudant-commandant en 1809. Chambellan de l’Empereur et comte de l’Empire (1809). Nommé en 1812, ministre plénipotentiaire près S. A. I. et R. le grand-duc de Wurtzbourg (Confédération du Rhin), poste qu’il occupa jusqu’à sa mise en disponibilité. Rappelé à l’activité, comme colonel chef d’état-major de la 2e division du 3e corps de cavalerie en 1813. Maréchal de camp en 1814, sans emploi, puis rappelé à l’activité en 1815, devint aide de camp de Napoléon qui le nomma général de division le 15 juin 1815 (veille de la bataille de Ligny) ; mais ce dernier grade ne fut pas confirmé. Le général Montholon avait fait onze campagnes au cours desquelles il s’était brillamment distingué, notamment en Italie, à Austerlitz, à Iéna, à Friedland, à Ratisbonne et à Wagram. Il avait reçu cinq blessures. Partit pour Sainte-Hélène en 1815 avec les généraux Bertrand, Gourgaud et M. Marchand, il ne rentra en France qu’en 1821. Arrêté en 1840 à Boulogne avec le prince Louis-Napoléon, condamné, par arrêt de la Cour des Pairs, à vingt ans de détention, et, par suite, rayé des contrôles de l’armée. Prisonnier dans la citadelle de Ham, il fut, après l’évasion du Prince, gracié et réintégré dans les cadres de l’armée en 1846 ; retraité, pour ancienneté de services en 1850 ; relevé de la retraite et placé dans la section de réserve le 2 mars 1853.
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Rare et bel ensemble d’un garde d’honneur de la ville de Lyon (1802-1814), dite « la Garde d’honneur de Sa Majesté l’Empereur ».

-Sabre de Gardes d'Honneur de la ville de Lyon 
du type des Chasseurs à cheval de la Garde.
Poignée recouverte de basane avec filigrane. Monture en laiton.
Calotte à longue queue. Garde à une branche, à nervure centrale, à deux oreillons en navette à arête médiane et quillon recourbé boulé à pans.
Lame courbe à dos plat, marquée "Manufacture de Klingenthal Coulaux Frères Entreprise"; à contre tranchant et pans creux, poinçonnée au talon au faisceau de licteur.
Fourreau en bois recouvert de maroquin taupe, à deux grandes garnitures et deux attelles en laiton.
Chape gravée "Garde d'Honneur Lyonnaise". Dard et anneaux en fer.

-Avec son ceinturon d'Officier au modèle de la Cavalerie Légère,
à deux bélières, en maroquin rouge, garni d'un galon doré, boucle agrafe en laiton doré ciselé à mufles de lion.

-Et sa giberne de Gardes d'Honneur de la ville de Lyon.
Coffret à patron en bois et patelette, recouvert de maroquin rouge, bordé d'un galon doré.
Motif au lion héraldique et quatre boutons en laiton doré.
Bandoulière en maroquin rouge, bordée de galons dorés, garnie de treize boutons.
Boucle à deux ardillons, passant et aigle couronnée en laiton doré ciselé.
Doublée intérieurement de peau blanche.

B.E. Époque Ier Empire.

Historique :
Garde d’honneur de Lyon. De 1802 à 1814, lors des déplacements de Napoléon Ier dans l’Empire, des escortes sont formées sous le nom de Gardes d’honneur pour assurer la protection de l’Empereur durant sa visite. Elles peuvent être communales ou départementales. Lyon est la première ville où une garde d'honneur a été constituée à l’occasion du premier déplacement officiel du Consul Bonaparte du 21 nivôse au 7 pluviôse an X. Elle est formée par l’élite social des Lyonnais qui se constitue en corps de cavalerie légère. La garde d’honneur de Lyon reste en activité après le départ de Bonaparte. Le 23 ventôse an XIII, le général Duhesme donne au préfet du Rhône les devis de frais à faire pour faire de la garde d’honneur de Lyon, « la garde d’honneur de sa majesté l’Empereur ». La municipalité de Lyon met à la disposition du chef de la garde d’honneur la somme de 5 000 francs afin d’aider les volontaires à financer leur tenue. Le 15 germinal an XIII, la garde d’honneur est réorganisée. D’une compagnie montée de 100 à 150 hommes en 1802, la garde d’honneur de Lyon devient un vrai corps composé d’une compagnie de chasseurs à pieds, d’une compagnie de grenadiers et d’une compagnie a cheval pour un total de 231 hommes. Un corps de musiciens volontaires l’accompagne. En 1807, la garde d'honneur de Lyon se dote d’un étendard et d’un règlement. En 1809, elle est composée d’une compagnie de grenadiers, d’une compagnie de chasseurs à pied et d’une compagnie de chasseurs à cheval. A partir de 1810, Napoléon ne fit plus de visite officielle à Lyon, les gardes d'honneur deviennent des formations officielles jusqu'à la chute de l'Empire en 1814.
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BOUTET Manufacture à Versailles.
Belle paire de pistolets à silex d’officier.

Canons à pans à rayures cheveux, de couleur patiné, gravés sur les dessus « Boutet Directeur Artiste » et poinçonnés des trois barrettes « Boutet » aux tonnerres et du poinçon « NB », légèrement tromblonés aux bouches.
Platines signées « Manufre à Versailles », gravées et chiens à corps plats.
Bassinets ronds en fer à pare-étincelles.
Garnitures en fer découpé, uni, poli blanc.
Anneaux porte-baguette à pans. Pommeaux ovales. Toutes vis gravées.
Fines montures à longs fûts, à crosses finement quadrillées, à dos plats.
Baguettes en fanon à embouts en corne et embouts de nettoyage en fer. Long. :35,5 cm. Calibre : 14 mm.
​B.E. Époque Ier Empire.
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Dague d’officier de marine.
Poignée en ivoire strié.
Monture en laiton doré, croisière, deux quillons en « S », nœud de corps à l’ancre.
Lame à arête médiane, avec reste de marquage de Klingenthal.
Fourreau postérieur à deux garnitures en laiton.
A.B.E. Époque Restauration.
​Longueur : 55 cm.

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Beau sabre d'officier supérieur de la marine, de qualité, modèle 1837 de l'école navale.
Poignée en bois laqué noir.
Monture en laiton ciselé et doré à décor de feuillages et attributs de marine.
Garde à une branche et coquille ciselée à jours, ornée d'une ancre surmontée d'une coquille, feuillages et bout.
Lame cintrée à dos arrondi de "Coulaux à Klingenthal", à contre tranchant, pans creux et gouttière.
Fourreau en cuir à trois superbes garnitures en laiton découpé, estampé et gravé ; deux à décor d'ancres, rinceaux et feuillages.
Bouton de chape en coquille.
T.B.E. Début de la IIIe République.
​Grande qualité. Dans sa dorure d'origine.
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Emmanuel FREMIET (1824-1910).
Cuirassier de la ligne (1852-1858).
Bronze équestre à patine brune signé sur la terrasse « E. Fremiet ».
T.B.E.
​Haut : 37,5 cm.
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Jean-Baptiste CARPEAUX (d’après).
Le prince impérial et son chien Nero.
Sujet en biscuit de Sèvres. Poinçon de Sèvres et date « 1912 ».
B.E. Haut : 42 cm.
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Le mercredi 26 mars 2025 à Paris, salle Favart,​​ avec l'étude ADER

3/26/2025

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Le mercredi 26 mars 2025 à Paris, salle Favart,
​​avec l'étude ADER.



ARMES ET SOUVENIRS HISTORIQUES


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​Salles des ventes Favart
3 rue Favart
75002 Paris



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Jean-Claude Dey
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Arnaud de Gouvion Saint-Cyr

Pierre-Richard Royer

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Long pistolet à silex d’arçon, d’officier.
Canon rond à bourrelet à la bouche, à pans, gravé au tonnerre.
Queue de culasse gravée.
Platine décorée de rinceaux signée « A Paris » et chien à col de cygne à corps ronds. Bassinet en fer, rond.
Garnitures en fer découpées, décorées, en partie gravées.
Pommeau à longues oreilles et pièce de pouce ornée d’animaux. Monture en noyer. Crosse à long fut à embout en corne. Baguette en bois. Longueur : 49 cm.
A.B.E. Vers 1730.

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Pistolet d’arçon à silex d’officier.
Canon rond à pans au tonnerre, poinçonné.
Platine poinçonnée, gravée « Manufre Imple de Charleville ».
Chien à corps rond. Bassinet en laiton poinçonné.
Garnitures en laiton cuivré découpées. Devant de pontet en fleur de lys. Pommeau ovale à anneau. Crosse en noyer, quadrillée, à fut court. Baguette en fer.
Longueur : 34 cm.
​A.B.E. (léger fêle). Beau modèle, proche du pistolet de mamelouk.
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Cassette nécessaire de pistolets de combat ou d’officier.
En bois plaqué de ronce de noyer, décoré de filets en laiton, avec poignée repliable sur le dessus et onglet en laiton ; gainée à l’intérieur de velours vert.
Elle contient :
- Une paire de pistolets d’officier à percussion, de combat ou de tir.
 Canons rayés à pans, damas, de couleur tabac, poinçonnés aux tonnerres de Liège et gravés, ainsi que les queues de culasse. Platines avants et chiens à corps plats décorés de rinceaux feuillagés.
Garnitures en acier gravées en suite. Pontets repose-doigt.
Détentes réglables. Pommeaux à portière.
Crosses à fut court finement sculptées.
- Et ses accessoires : maillet, moule à balles, tournevis démonte-cheminée, poire à poudre, tonneau à calepin, baguette de bourrage en acier et laiton et baguette de nettoyage en bois avec embout en laiton, nécessaire à sortir les balles à vrille, huilier (manque la clé et la platine de serrure).
​B.E. général. Vers 1840.
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Pistolet semi-automatique Gaulois n°1, huit coups, calibre 8 mm court. Plaquettes de paume en ébonite noir quadrillé.
Carcasse bleuie avec marquage et poinçon de la manufacture de Saint-Etienne.
Finition bleuie.
Longueur : 13 cm.
​A.B.E.
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Paire de pistolets d’arçon à silex.
Canons ronds à pans aux tonnerres, frappés d’un poinçon espagnol
« Sala » sous couronne.
Platines signées « Bonnard à Valence » et chiens à corps plats gravés et ciselés. Bassinets à pare-étincelles à pans.
Garnitures en argent. Pommeaux à longues oreilles ornés d’un buste d’homme, sur l’un, et, d’un buste de femme, sur l’autre.
Contre-platines feuillagées. Montures en noyer.
Crosses en partie sculptées à longs futs avec lettres d’appartenance
« CAF » en argent incrustées sur les dos.
Baguettes en bois à embouts en corne.
Longueurs : 40 cm.
A.B.E. Vers 1780 (un chien ressoudé, enture à l’un des futs, fracture à l’autre fut, une vis de chien postérieure).

BONNARD Michel-Appolinaire : Arquebusier né en 1763 à Valence (Drôme). Travailla aux armes à l’âge de 13 ans, devint chef armurier à l’école militaire de Tournon en 1792, vérificateur d’armes dans les ateliers de l’armée d’Italie (An IV), nommé contrôleur par MARMONT (An X) puis contrôleur en second à la Manufacture de Saint-Etienne (An XIII) jusqu’à son décès en 1821.
SALA Antoine, armurier à Barcelone, 1760-1785.
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Pistolet à silex de la gendarmerie de la Maison du Roi.
Canon à pans, damas, patiné, gravé sur le dessus « Gendarmes de la Garde », décoré d’un liseré d’or au tonnerre.
Platine et chien col de cygne à corps plats. Bassinet à pare-étincelles. Garnitures en fer découpées, gravées et ciselées.
Crosse en noyer clair à quadrillage vannerie et long fut.
Pommeau ovale décoré d’une étoile. Baguette en fer.
Longueur : 34 cm.
​B.E. Fabrication liégeoise. Époque Restauration.
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Long pistolet double à percussion dans le goût ottoman, deux coups. Canons ronds bronzés superposés, ornés à la bouche et au tonnerre d’un décor d’incrustations argent.
Chiens et platines finement ciselés de rinceaux feuillagés ainsi que le pontet. Vis de platines et de chiens bleuies.
Pommeau rond à longues oreilles, gravé, damasquiné d’argent, avec inscriptions.
Crosse en bois noirci sculptée, avec pièce de pouce en argent chiffrée
« AB » entrelacés.
Longueur : 52 cm.
​B.E. Vers 1830-1840.
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Pistolet Remington Over Under modèle n°3, deux coups, calibre 41 annulaire.
Canons ronds superposés avec signature sur la bande. Détente éperon. Plaquettes de crosse en argent.
Finition dorée.
​T.B.E. Vers 1890-1900.
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